Publication du livre électronique sur la Nature pour les Prépas commerciales, 2015-2016

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Je l’ai spécialement conçu, pour que des étudiants d’un niveau « moyen » puissent disposer d’un outil de travail pratique, dont le but est de leur donner des connaissances claires et précises, tout en les invitant à réfléchir sur des problématiques essentielles.
Le cours traite des divers champs de réflexion sur le thème, comme la technique, la science, l’art, le droit, le concept de « nature humaine », etc.
Il s’appuie essentiellement sur des thèses d’auteurs philosophiques, mais aussi sur des connaissances de Culture Générale (en histoire, en art, en religion, en science et en littérature notamment).

Petit rappel : il n’est pas nécessaire de posséder une liseuse pour lire un livre électronique. En effet, vous pouvez le lire sur votre ordinateur, sur votre tablette ou sur votre smartphone, en téléchargeant l’application gratuite Kindle

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Stéphanie Martini : La Nature-Prépas Commerciales 2015-2016, 164 pages, 7,99 €

TABLE DES MATIERES DU LIVRE :

Préface
PREMIERE PARTIE : Qu’est-ce que la nature ?
Introduction
I. Les sens courants du terme «nature»
  1) L’emploi absolu du terme : «La nature»
  2) L’emploi relatif du terme : «La nature de quelque chose»
  3) L’adjectif «naturel»
    a) Les adjectifs couramment opposés à «naturel»
    b) Ces oppositions sont-elles pertinentes ?
II. L’étymologie du terme nature
  1) L’étymologie latine et grecque
  2) Réflexions sur l’étymologie du terme

III. Les sens philosophiques du terme «nature».
  1) La conception aristotélicienne de la nature
    a) Observations et questionnement sur la nature
    b) La nature comme principe de changement et de mouvement
    c) Conditions de possibilité du changement naturel
  2) Le lien entre le sens absolu et le sens relatif du terme «nature»
  3) L’évolution du sens du terme «nature» : le tournant du XVIIe siècle.
    a) Une nouvelle conception de la nature et du monde : Descartes
    b) La nature comme étendue matérielle et le problème du relativisme de la connaissance.
  4) La conception kantienne de la nature
    a) L’en soi de la nature reste inconnaissable
    b) La nature au sens matériel
    c) La nature au sens formel
    d) La nature est un ensemble
  5) Nature, monde, réalité
Conclusion

DEUXIEME PARTIE : la nature comme objet de la connaissance scientifique
Introduction
I. A quelles conditions la nature devient-elle objet de science ?
  1) L’émancipation de l’explication mythologique et religieuse
    a) Caractéristiques de l’explication mythologique et religieuse
    b) L’explication donnée par les physiciens grecs présocratiques
    c) Limites de l’émancipation de l’explication mythologique et religieuse.
  2) L’émancipation de l’ «autorité des Anciens»
  3) L’émancipation du modèle d’action humain

II. La nature comme objet du protocole expérimental
  1) Le protocole expérimental : généralités
  2) Un exemple : les expériences de Torricelli et Pascal sur le vide
    a) Quel genre de «connaissance» convient-il d’appliquer à la nature ?
    b) Comment la raison doit-elle percer les «secrets de la nature» ?
  3) Les lois et les théories physiques
    a) La réduction des causes naturelles à un petit nombre
    b) Connaissance des causes des phénomènes naturels et lois physiques
    c) La nature, modélisée dans la théorie physique

III. La diversité des sciences de la nature et l’unité de la nature
  1) Une coupure dans la nature entres les êtres inorganiques et les êtres organiques ?
    a) Quelles sont les spécificités des êtres vivants ?
    b) Est-il nécessaire de réintroduire le concept de finalité ?
  2) Théories unitaires de la nature
    a) Le réductionnisme
    b) L’élan vital
  3) L’idée de classification des êtres naturels
    a) Les limites de la classification classique
    b) Classification moderne et théorie de l’évolution
    c) Systématique et système de la nature
Conclusion

TROISIEME PARTIE : Les rapports de l’homme à la nature
Introduction
I La distinction entre besoins et désirs recoupe-t-elle la distinction entre «naturel» et «artificiel» ?
  1) Les désirs naturels et nécessaires, chez Epicure
  2) Les désirs naturels, non nécessaires
  3) Les désirs naturels illimités
  4) Les désirs vains
  5) La solution épicurienne

II. Le travail et la technique : d’une transformation de la nature à sa maîtrise ?
  1) Définitions générales et perspectives
  2) La conception antique de la technique
    a) Généralités
    b) La technique chez Aristote
  3) La conception cartésienne de la technique

III. La nature a-t-elle un «plan caché» pour l’homme, dans l’histoire ?
  1) L’histoire : sphère en apparence autonome par rapport à la nature.
  2) L’histoire comme réalisation d’un plan caché de la nature, pour l’homme
  3) Rôle du conflit entre les dispositions non rationnelles de l’homme.

IV. La nécessité de la nature s’oppose-t-elle à la liberté de la volonté ?
  1) Comment établir que la volonté échappe au déterminisme naturel ?
  2) La fausse liberté, comme illusion de pouvoir échapper au déterminisme naturel
  3) La liberté ne s’oppose pas à la nécessité naturelle, mais à la contrainte.
    a) Le seul être vraiment libre est Dieu ou la Nature
    b) Le déterminisme naturel rend possible une certaine liberté
    c) Comment l’homme peut-il acquérir cette liberté ?

V. L’idéalisation de la nature
  1) La relation entre l’homme et la nature, dans la Genèse.
    a) Distinction entre les deux récits de la Genèse
    b) La nature idéalisée, dans le Jardin d’Eden
    c) La nature travaillée
  2) Quel «retour à la nature» ?
    a) L’amour maternel est-il naturel ?
    b) La nature domestiquée, introduite dans la ville
    c) la pratique du naturisme : libération des carcans du vêtement ?
Conclusion

QUATRIEME PARTIE : La nature humaine
Introduction : Polysémie du terme de «nature humaine» et essai d’unification
I La nature de l’homme comme nature originaire
  1) La connaissance de la nature originaire de l’homme
  2) La transformation de notre nature originaire, par la culture
    a) Nature du processus
    b) Moteur du processus
  3) Peut-on identifier «nature» et «essence» de l’homme?

II La nature humaine comme nature en l’homme.
  1) Les réalisations de la culture
  2) La culture comme barrière aux pulsions naturelles
  3) Le sur-moi comme intériorisation de la répression de la culture sur la nature, en l’homme.
  4) La résultante : de la névrose jusqu’à la sublimation.

III. La question d’une nature humaine bonne ou mauvaise a-t-elle un sens et est-elle déterminable ?
  1) Cela a-t-il un sens de qualifier la nature humaine de «bonne» ou de «mauvaise» ?
  2) Le bien et le mal moral, selon Kant
  3) L’homme a, dans sa nature, une disposition au bien, sur laquelle se greffe un penchant au mal.
  4) La réduction de l’opposition entre nature et liberté

IV. L’homme a-t-il une nature originaire ou doit-il lui-même la constituer ?
  1) La critique existentialiste de la nature humaine, conçue sur le modèle de la technique
  2) Différence entre nature humaine et condition humaine
  3) Enjeux de la conception existentialiste de la nature humaine
Conclusion

CINQUIEME PARTIE : La représentation artistique de la nature
Introduction
I. La nature comme objet de plaisir esthétique
  1) Le paradoxe d’une nature qui suscite en nous la contemplation esthétique
  2) Faire abstraction de la finalité de la forme d’un objet naturel ?
  3) Faut-il supposer une nature artiste ?

II. La nature comme sujet de l’œuvre d’art
  1) Le modèle de l’artiste : la phusis ou l’Idée ?
  2) Le naturalisme
    a) Principes du naturalisme
    b) Le récit romanesque naturaliste
    c) Les limites de la conception naturaliste de l’art
  3) La nature morte
    a) Caractères principaux et différents genres.
    b) Pourquoi représenter une nature «morte» ?

III. La représentation des rapports entre l’homme et la nature, dans l’œuvre d’art.
  1) La nature comme lieu de l’idylle champêtre et amoureuse
  2) Le retour romancé à l’état de nature
  3) Comparaison entre l’idylle romanesque dans la nature et le retour romanesque à l’état de nature

Conclusion

SIXIEME PARTIE : La nature comme norme du droit
Introduction
I. Le droit comme reflet de l’ordre naturel
  1. Qu’est-ce que «le juste par nature» (phusei dikaion) ?
    a) Platon
    b) Protagoras
    c) Calliclès
  2. La loi naturelle comme présence de la loi éternelle divine, en l’homme.
    a) Les êtres naturels comme créatures de Dieu
    b) Présentation de la conception thomiste du droit naturel et du droit positif.
    c) Réflexion sur le rôle du «droit positif», par rapport au «droit naturel» chez Thomas d’Aquin.

II. Le droit positif comme correctif du droit naturel
  1) La détermination du droit naturel dans un «état de nature»
    a) La rupture avec la tradition aristotélicienne d’une «société naturelle»
    b) La dualité de la nature humaine et les contradictions du droit naturel (Hobbes)
  2) Comment justifier l’emploi du terme «droit» dans l’état de nature ?
  3) L’acte fondateur du droit positif : la convention entre les hommes.

III. Le droit positif comme ce qui rend effectifs les droits naturels de l’homme
  1) Le passage du «droit naturel» aux «droits de l’homme»
  2) «Droits de l’homme» ou texte déclarant des droits à l’homme ?
  3) Le problème de la détermination des «droits de l’homme»
    a) Une essence composée de droits ?
    b) Quels droits de l’homme ? L’exemple de la propriété

Conclusion

Conclusion générale
Appendice : Les expériences de Torricelli et de Pascal sur le vide
NOTES
Bibliographie conseillée et commentée
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