Comment mieux communiquer, grâce au méta-modèle en PNL ?

Dans l’un de ses livres, Stephen Covey donne l’exemple d’un étudiant qui vient le voir, pour s’excuser de ne pouvoir assister à son prochain cours, à cause d’une compétition de tennis, avec l’équipe de l’université. Covey engage alors la conversation avec son étudiant, pour lui faire comprendre que son absence ne dépend pas, comme il le croit, d’une obligation (il doit jouer avec son équipe), mais de son propre choix (il choisit de donner la priorité à cette compétition, sur le cours auquel il doit normalement assister).

Cet exemple parle à chacun de nous : nous préférons souvent nous réfugier derrière le prétexte d’une obligation, plutôt que de prendre clairement conscience de notre liberté de choix. Ce décalage entre notre expérience profonde et la manière dont nous l’exprimons aux autres ou à nous-mêmes, par des mots, prend de multiples formes qui sont étudiées, en Programmation Neuro-Linguistique. Cette discipline nous propose également des outils, pour prendre conscience de ce décalage et pour le réduire le plus possible.

Dans cet article, je vous propose d’adapter l’analyse que fait la PNL de ce problème, au domaine de l’apprentissage (de la philosophie, en particulier). Des énoncés comme « je dois travailler plus », « ce professeur m’a mis une mauvaise note, parce qu’il ne m’aime pas », « je n’y comprends rien » ou « les élèves me fatiguent » sont de bons exemples du problème dont nous allons parler. Alors, si vous avez tendance à vous répéter souvent ce genre de phrases, lisez cet article !

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Connaissez-vous la technique Pomodoro ?

La technique Pomodoro consiste à se donner une tâche de travail et à la séquencer en périodes de 25 mn, suivies de 5 mn de pause. L’arrêt de la séquence de travail est donné par la sonnerie d’un minuteur. Au bout de 4 séquences de 25 mn, il est conseillé de prendre une pause de 15 à 20 mn. Cette méthode a été mise au point par un Italien, du nom de Francesco Cirillo. Comme il utilisait un minuteur en forme de tomate, il a tout simplement appelé sa méthode par ce nom (« pomodoro » signifie « tomate », en italien).
Dans cet article, je vous propose de voir l’utilisation que nous pouvons faire de cette méthode, dans notre travail, ainsi que les variantes que nous pouvons lui apporter.
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Comment acquérir une bonne culture générale (1/2) ?

Les étudiants de Classes Préparatoires Economiques, que j’interroge en colles chaque semaine, me demandent souvent comment faire pour acquérir une bonne culture générale. Dans cet article, je vous explique les principes généraux à suivre, pour vous forger une solide culture générale, ainsi que les erreurs à éviter. Je vous conseille d’appliquer ces principes, si vous faites des études supérieures, qui exigent d’avoir une bonne culture générale. Cependant, le mieux est de commencer à les mettre en pratique le plus tôt possible, même en Terminale, afin d’acquérir de bonnes habitudes, pour vos études futures.

Dans un deuxième article, je vous parlerai de stratégies plus précises à adopter, une fois que vous aurez acquis les stratégies de base.

Tout d’abord, il est important que vous sachiez exactement ce qu’est la culture générale.
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La fiche de lecture : sa conception et son utilisation

Dans cet article, je ne vous parlerai pas de la fiche de lecture, entendue comme résumé de lecture. Pour moi, une fiche est une feuille de papier cartonnée, de petites dimensions. Elle ne peut donc contenir qu’un petit nombre d’ informations. Je m’inspire des conseils que donne Jean Guitton, dans son livre, Le travail intellectuel. Il parle de notes (de lecture), dont l’ensemble, classé et rangé verticalement, forme des fiches. Il préconise ainsi de nous constituer « des notes significatives, dynamiques, variantables ».
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Savoir distinguer l’important de l’urgent

Si vous avez l’impression de ne pas avoir de temps et, en particulier, de toujours courir après ce qui est urgent, je vous conseille vivement la lecture de cet article. Bien gérer son temps suppose tout d’abord de bien faire la distinction entre ce qui est important et ce qui ne l’est pas et entre ce qui est urgent et ce qui ne l’est pas.

L’urgent n’est souvent pas important

L’urgent qualifie ce qui ne peut attendre, ce qui requiert une action immédiate de notre part. Mais, parmi les actions que nous qualifions d' »urgentes », très peu sont urgentes en soi. Certains événements, comme les accidents, exigent, pour être bien gérés, une réaction immédiate de notre part. Et, il existe des métiers dont la vocation est de travailler dans l’urgence, ou plutôt avec l’urgence (comme les pompiers ou les médecins du SAMU). Mais, la plupart de nos tâches « urgentes » le deviennent, parce que nous avons trop attendu pour les faire. En effet, nous pensons que, si ce n’est pas urgent, c’est que nous avons tout notre temps ! Mais, le temps passe et la date butoir finit par arriver.
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Comment progresser, en philosophie, grâce à vos métaprogrammes

Dans un précédent article, je vous ai montré en quoi la Programmation Neuro Linguistique nous aide à mieux réussir nos objectifs. Je vais vous présenter ici un outil d’analyse très utilisé, en PNL : les « métaprogrammes ». Nous verrons comment leur connaissance peuvent vous permettre de progresser en philosophie. Si vous êtes enseignant, cette connaissance vous permettra de mieux comprendre pourquoi certains de vos élèves ou étudiants n’arrivent pas à appliquer vos consignes de méthode.

Mon étude sera appliquée à la philosophie, mais elle est généralisable – en l’adaptant un peu – aux autres matières !
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101 conseils pour réussir ses examens de Stéphanie Lacroix

Le livre 101 conseils pour réussir ses examens de Stéphanie Lacroix vient de paraître aux éditions Ellipses.

Je vous recommande vivement la lecture de cet ouvrage, que vous soyez élève, étudiant, enseignant ou même parent !

Ecrit dans un style vivant et alerte, ce livre fourmille de conseils de bon sens (mais utiles à rappeler) et d’autres moins connus. L’auteur s’appuie sur son expérience de professeur de mathématiques, ainsi que d’animatrice d’ateliers de réussite scolaire, pour élèves et étudiants.

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Ainsi, en lisant cet ouvrage, vous y apprendrez : Continuez

Comment progresser dans vos résultats scolaires ?

Je suppose que, si vous faites des études, vous avez déjà voulu progresser dans les matières, dans lesquelles vos résultats n’étaient pas très bons.
Cependant, vous avez remarqué que, malgré tous vos efforts, les progrès que vous espériez ne venaient pas. Pourquoi ?

C’est que vous n’avez pas commencé par ce qu’il fallait : enlever vos croyances limitantes sur vos capacités.
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La carte heuristique : un outil de travail pratique

Pour faire une carte heuristique, vous commencez par noter au centre d’une feuille le sujet principal. Puis, vous faites partir de ce mot cinq ou six branches, sur lesquelles vous écrivez d’autres mots-clefs. Et, de chacune de ces branches, vous faites rayonner d’autres ramifications, et ainsi de suite.

La carte heuristique est donc une manière originale de récolter et de présenter de l’information. Elle permet de résumer un texte, un livre ou de prendre des notes. Elle sert également à trouver des idées ou à organiser un événement.

Dans cet article, j’exposerai huit manières d’utiliser la carte heuristique, que ce soit dans le domaine de l’apprentissage et de l’enseignement (de la philosophie, en particulier) ou dans le domaine de notre vie personnelle.
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Apprendre de ses erreurs

Apprendre de ses erreurs ou ne pas en faire du tout ?

Apprendre de ses erreurs n’est pas facile, parce que l’erreur est habituellement perçue comme quelque chose de négatif. Nous la considérons, en effet, comme un obstacle inutile, qui nous empêche d’arriver au résultat que nous voulons. Bien plus, quand nous faisons une erreur, nous nous sentons stupides et nous redoutons la moquerie des autres ou même leurs reproches. Continuez